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un amour d’hiver Un Amour Dhiver
Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Je trouve que ce film vaut le fait d’aller le voir au cinéma… Pourquoi cette haine de Russel pour Colin pourquoi cette chasse et pourquoi ne pas avoir été plus dans les moments fantastique on nous met l’eau à la bouche en sugérant quelques effets. J’ai hésité à voir ce film car les avis sont très partagés.
Mais un peu à la fois les pièces du puzzle se mettent en place, on finit par comprendre à peu près tout et on arrive à une fin vraiment magnifique dans l’émotion qu’elle dégage. J’ai adoré ce film, servi par des acteurs excellents portant le scénario de façon totalement accomplie.
Critiques Des Professionnels
Les affiches que nous vous proposons sont dans un bon état. Sachez qu’elles ont déjà été utilisées au cinéma à la sortie du film. J ai trouvé ce film fabuleux …trés belle histoire avec de beaux et bons acteurs.
Scénariste primé aux Oscar®, Akiva Goldsman a écrit, produit et fait ses débuts de réalisateur avec ce film fantastique, surnaturel et intemporel basé sur le roman best-seller de Mark Helprin. Cette histoire de miracles, de destins croisés et de l’éternelle bataille entre le bien et le mal, se déroule dans un New York mythique sur plus d’un siècle.
Notes Et Avis
Dieu tout puissant nous envoie des épreuves pour nous tester, pour tester notre amour en lui et ce film est l’épreuve qu’il m’a envoyé. J’ai essayé de lutter, mais je suis si faible face à ce film cosmique à la perfection divine dont la qualité dépasse l’entendement de nous, simples mortels. Vraiment un merveilleux conte féerique ; J’ai beaucoup aimé ce film, la magie est au rendez vous ! SPOIL /// Lulu aussi, le grand chef du noir absolu … Ses sbires démons aussi ; mais la lumière est là, qui veille … Akiva Goldsman dont c’est le premier film en tant que réalisateur est également un scénariste reconnu. Il a notamment signé le scénario de nombreux films comme Je suis une légende, Da Vinci Code ou encore Mémoires d’une geisha. Un amour d’hiver est une adaptation du roman de Mark Helprin publié en 1983. Colin Farrell est un grand romantique dans Winter’s Tales.
Ce film est une magnifique histoire d’amour fantastique… On se tape quand même une scène d’introduction qui t’explique, attention, que dans chaque bébé il y a un miracle (perso j’aurai plutôt parlé d’usine à caca), que tout est connecté . Un film si sublime qui raconte des choses aussi vraies sur le destin, le bien, le mal, l’amour, les chevaux qui volent, les gens qui ne vieillissent pas, Russell Crowe, Colin Farrell qui a écouté les conseils de Cage en matière de coiffure.
Cry Macho De Clint Eastwood : La Critique Du Film
Si vous êtes amenés à voir ce film par masochisme, cachez-vous les yeux, épargnez-vous cette peine, peu importe vos crimes vous ne méritez pas ça. Le film est laid, mais laid, c’est une abomination, ça brûle les yeux tant les effets visuels sont ratés, mais tout est raté d’ailleurs.
– mais qui se révèle être un des casse-têtes cinématographiques les plus bizarres (et bizarrement épouvantables) vus de récente mémoire. Le genre de film qui aurait pu être imaginé comme la satire d’une production catastrophique dans les coulisses d’une comédie hollywoodienne, mais effroyablement réelle.
Peter l’appelle « Cheval », et lui fait totalement confiance parce que son Sage Copain Inuit/Personnage Cliché N°4,721 nous informe que c’est son guide spirituel. À un moment, le personnage de Crowe dit que c’est un chien, sans explication. Un Amour d’Hiver, qui se déroule dans un New York mythologique sur plus d’un siècle, conte une histoire de miracles et de destins croisés, et revient sur l’éternelle bataille entre le bien et le mal. On en viendrait presque à se demander si le film était en fait complet ou si, par hasard, il ne manquait pas quelques bobines à la version finale, celles justement qui nous auraient aidé à comprendre le sens de cette entreprise objectivement déconcertante. Ah, et puis au fait, qui a eu l’idée de ce titre français bon sang de bois ??! Un film qui tente de vendre du rêve avec sa thématique du miracle au-delà de sa réalisation colorée façon 300, qui ne renouvelle rien avec ses filtres et sa mise en scène peu originale. Un Amour d’hiverpeine avec son histoire d’amour traversant les âges et offrant des pouvoirs surnaturels permettant ainsi de sauver les autres. Une idée séduisante sur le papier qui dans son exécution est un ratage complet, sans âme, superficielle et complètement à côté de son objectif.
Un Autre Monde De Stéphane Brizé : La Critique Du Film
Pas étonnant que le film soit un bide complet aux USA, on ne pouvait pas prévoir de miracle. Un amour d’hiver est donc un conte qui commence à New York, avec un Colin Farell poursuivi par des méchants pas très gentils. Peter Lake, orphelin, anti-héros qui vit comme un paria sous le toit de Ground Central, a des problèmes avec un groupe de gangsters. Et comme cela ne suffit pas, ce voleur va donc tomber par hasard – au détour d’une poursuite par ceux qui lui veulent du mal, chevauchant son pégase « ange gardien » (ça a l’air bizarre, mais ça se tient) – amoureux d’une jeune femme malade et condamnée. Et le début de la mièvrerie commence, agrémentée d’un affrontement entre le bien et le mal, les démons, incarné par Russell Crowe, sans son charisme habituel, et même Will Smith en Lucifer, et les forces du bien portées par notre héros et sa dulcinée. Aussi improbable sur le papier qu’à l’écran, cette bluette mièvre, dégoulinante de musique sirupeuse et d’effets spéciaux désuets qui nous feraient presque regretter les grandes heures de la série « Buffy contre les vampires », ne prend jamais.
Surtout avec toute cette neige et son casting de choix.
Enquete Sur Un Scandale D’etat De Thierry De Peretti : La Critique Du Film
Difficile de faire plus inintéressant que ce film et lorsque l’on croit que l’on ne peut pas tomber plus bas on retrouve Will Smith en Lucifer, oubliez tout ce que vous connaissiez en matière de cabotinage un nouveau monde s’offre à vous. Ou alors, ne me brûlez pas pas tout de suite en me traitant d’hérétique, c’est juste un gros trip sous acide d’un mauvais scénariste qui réalise un très mauvais premier film qui constitue un peu le degré zéro du cinéma dans tous les domaines. Et pourtant j’ai failli à ma mission, je n’ai pas été digne (du coup je suis allé faire pénitence), je prie Dieu pour qu’il me pardonne mes péchés, pour qu’il m’accorde la vie éternelle malgré tout. Réinitialiser votre mot de passe à l’aide de l’adresse e-mail associée à votre compte. Un film plein de bons sentiments, assumé et imparfait, mais on ne s’y ennuie pas une seconde. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. En cliquant sur «Continuer à lire ici» et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Le message ésotérique ou religieux est un peut être plus poussif mais cette histoire d’amour touche et le voyage dans le temps emporte avec bonheur et poésie.
The King’s Man : Première Mission De Matthew Vaughn : La Critique Du Film
Mais parce qu’elle est atteinte d’une grave maladie, les jours de Beverly sont comptés. La mort les sépare bientôt alors que Pearly Soames, un mafieux, pourchasse Peter. Projeté dans le temps, ce dernier n’a plus aucun souvenir lorsqu’il rencontre, à Central Park, Virginia Gamely et sa fille. Intriguée, la jeune femme va l’aider à retrouver la mémoire et à renouer avec son amour perdu… Entre un conte de noël pour enfant et romance fantastique, Un amour d’hiverne raconte rien de nouveau, tout en adaptant une histoire difficile à suivre déjà dans sa version littéraire.
A New York, au début du XXe siècle, Peter Lake, un émigré irlandais tombe fou amoureux de Beverly Penn, la jolie propriétaire de la maison qu’il cambriole. Projeté dans le temps, ce dernier n’a plus aucun souvenir… Les film triste d’amour sont comme les perles, rare.
The Innocents D’eskil Vogt : La Critique Du Film
Mais de belles phrases sont à noter tout au long du film et nous élève un peu vers d’autres idées que nous pouvons avoir sur le monde du réel et de l’iréel, du fantastique justement… Même si le “message ” parait par moment un peu limite , l’originalité qui consiste à mélangé une superbe romance avec du fantastique est plutôt réussie , le très bon casting ainsi que l’ajout de nombreuse “guest star “est un véritable plus . J’ai adoré ce film, servi par des acteurs excellents … Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. En savoir plus sur notre politique de confidentialité.
En conclusion, un ensemble un peu gnangan mais on ne s’ennuie pas. Je passe volontairement outre la romance, mais c’est réellement à vomir, c’est quoi ça ? Le truc le plus niais du monde, ils ressentent un truc plus fort que l’amour ! Fut un temps on les aurait brûlés vifs pour moins que ça . La fin de la scène de “sexe”, le truc qui se voudrait puissant et tout, mais Naaaannnn, c’est mou, on s’en fout complètement. “A New York, à l’aube du XXe siècle, Peter Lake, un voleur irlandais, s’éprend de Beverly Penn, la jeune et riche propriétaire de la demeure qu’il a cambriolée. Celle-ci décèdera quelque temps après, et Peter se découvrira un pouvoir surnaturel, celui de faire revenir les morts à la vie…” Le tout nouveau portail de l’actualité audiovisuelle et vidéo-ludique “next-generation”. Un véritable site d’information, de partage et de divertissement avec le meilleur de l’actualité cinéma, des dossiers, des rencontres, des news et reportages hilarants, des chroniques, présentés par une équipe de rédacteurs ravagés. À New York, à l’aube du XXe siècle, Peter Lake, un voleur irlandais, s’éprend de Beverly Penn, la jeune et riche propriétaire de la demeure qu’il a cambriolée. Celle-ci décèdera quelque temps après, et Peter se découvrira un pouvoir surnaturel, celui de faire revenir les morts à la vie…
Tromperie De Arnaud Desplechin : La Critique Du Film
Les cinéphiles déplorent à juste titre les tendances de la machine hollywoodienne à chasser et écraser des visions artistiques authentiques, mais en vérité, c’est aussi un effet secondaire de sa fonction que d’empêcher l’existence de désastres comme celui-ci. Dans un New York mythologique, le film conte, sur plus d’un siècle, une histoire de miracles, de destins croisés, et revient sur l’éternelle bataille entre le bien et le mal. De cette histoire d’amour éternelle que le réalisateur voudrait nous rendre sensible, ne subsiste qu’un squelette aussi translucide que sa mise en scène, qui se borne davantage ici à une mise en images. Surannée, sans souffle, boursouflée par un déluge de sentiments sublimes auxquels on voudrait croire sans jamais y parvenir, cette réalisation a été sanctionnée par un four lors de sa sortie aux Etats-Unis. Il est malheureusement fort probable que le même sort lui soit réservé en France. Ce, en dépit de la présence au générique de l’actrice hitchcockienne Eva Marie Saint , seul miracle d’un film qui – ayant beau continuellement en parler –, en est totalement dépourvu. A New York, au début du XXe siècle, Peter Lake, un émigré irlandais sans le sou, cambriole les riches demeures afin de survivre. Il entre un jour par effraction dans la luxueuse maison de la jolie Beverly Penn.
Sa décision de distribuer des infos narratives par petits morceaux revient lui exploser à la figure, tandis que des personnages se précipitent -tous en même temps- pour expliquer des choses magiques qui viennent d’arriver. Au cas où vous ne le saviez pas, Crowe est aussi un démon venu de l’Enfer qui veut la mort de Peter et qui s’amuse à tuer ses hommes de main sans aucune raison valable. Kevin Corrigan est flanqué à la porte prématurément, sans doute parce qu’il se fait chier. C’est un film, somme toute, féérique car on tombe dans le domaine du fantastique, incroyable et impossible…
L’evenement De Audrey Diwan : La Critique Du Film
Scénariste de films à succès tels que Je suis une légende ou Un Homme d’Exception, Akiva Goldsman passe à la réalisation pour la première fois. Adapté du livre de Mark Helprin (Winter’s Tale), son film est une romance à travers les âges, qui démarre dans le New York du XIXe siècle. Peter, un cambrioleur, s’éprend d’une riche héritière. Traqué par son mentor maléfique et propulsé dans le temps, Peter erre, amnésique, dans le New York contemporain.
Mourir Peut Attendre De Cary Joji Fukunaga : La Critique Du Nouveau James Bond
Découvrir les offres multicomptes Pourquoi voyez-vous ce message ? Parce qu’une autre personne est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Colin Farrell et Jennifer Connelly dans le film américain d’Akiva Goldsman, “Un amour d’hiver” (“Winter’s Tale”). Téléchargez l’application du cinéma sur votre smartphone.
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J’y suis allée quand même pendant la fête du cinéma en me disant que je n’allais pas aimer, que cela allait être con comme film etc…
Ce n’est pas faute d’avoir réuni un casting séduisant. Mais, jouant l’affliction et le deuil à longueur de film, les personnages manquent cruellement de relief. Russell Crowe, en premier lieu, qui compose un méchant monolithique. Une histoire qui nous est vendue au départ comme un conte fantastique amoureux, mais qui sert de prétexte pour nous servir une bouillie indigeste sur Dieu, le diable (joué par Will Smith c’est dire…), les miracles intérieurs et les destins contrariés. Dans ce film fantastique, l’histoire d’amour est belle, notamment grâce à la présence d’Eva Marie Saint mais la lutte entre le bien et le mal m’a beaucoup moins convaincue.
Bandes
Colin Farrell y interprète un voleur irlandais qui rencontre une héritière malade et condamnée lors d’un cambriolage. Tombant fou amoureux d’elle, il n’a d’autre choix que de découvrir un moyen d’arrêter le temps et de la sauver des griffes de la mort. Au-delà de cette belle intrigue romantique, ce projet qui a beaucoup tenu à cœur à Akiva Goldsman figure une liste remarquable d’acteurs talentueux, avec entre autres Jessica Brown Findlay et les lauréats aux Oscar® Jennifer Connelly , William Hurt , Eva Marie Saint et Russell Crowe . D’une manière on ne peut plus poétique Winter tale nous offre ici une histoire des plus fantastiques du cinéma contemporain .
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Sa rencontre avec une mère et sa fille lui permet de renouer avec le souvenir de son amour perdu et de se découvrir des pouvoirs surnaturels. À défaut d’autre chose, saluons le fait qu’il a peu de gens au cinéma ces temps-ci qui sont aussi balèzes pour ce qui est de jouer la carte de la sincérité que Colin Farrell. Si nous, spectateurs, ne croyons pas à l’histoire qu’il essaye de nous vendre, au moins on voit clairement que lui y croit, de tout son cœur. Autrement dit, il est l’acteur parfait pour être à la tête d’une folie comme celle-ci, et peut-être la seule personne qui peut sortir une réplique du genre «Je suis attiré vers elle, comme l’oxygène quand je suis sous l’eau», et faire en sorte que ça sonne vrai. Mais Farrell n’est pas suffisamment balèze pour parler à un cheval volant, ni rendre regardable une histoire d’amour qui défi les lois du temps et de l’espace, avec des démons maléfiques qui n’ont rien de mieux à faire que contrecarrer une relation (ou « un miracle », comme ils disent dans ce monde). Une histoire improbable toute en longueur qui ne génère aucun engagement de la part spectateur. Une histoire d’amour éternelle qui traverse les âges, à mi-chemin entre le conte de noël, la chasse à l’homme et une romance digne des films de Kathrine Heigl. Manque de bol, le scénario n’a aucune logique, et ne suit même pas les bases du voyage du héros de Joseph Campbell. Etonnant de la part d’Akiva Goldman, grand élève de l’anthropologue. Parce que oui, le film avec des t-shirts de Jimi Hendrix en 1915 et des gens qui se transforment en neige quand on leur tranche la gorge, décide de retomber sur des enfants mourants pour nos arracher des larmes.
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Avec son univers fantastique et un casting attrayant, Un amour d’hiver ressemble à un conte de Noël ayant quelques mois de retard. Pour son premier film, Akiva Goldsman, malgré un parcours respectable, s’attelle à un projet très ambitieux (pour ne pas dire casse-gueule) et s’empêtre dans un récit sans queue ni tête, vivotant autour d’une amourette prévisible. Dire que la magie n’opère pas est un euphémisme, tant Un amour d’hiver frise un ridicule parfois si absurde qu’il en devient captivant. Par ailleurs, il y a une histoire d’amour importante mais le vrai concept du film c’est que la mission du héros est de sauver une petite fille malade. Très jolie histoire, très émouvante et poétique, mais quand même racontée de manière assez complexe, voire ardue, sans qu’on sache trop distinguer d’emblée la réalité de la magie…
Colin Farrell est bluffant dans son interprétation à la fois solide et sensible, entouré pour cela par la somptueuse Jessica Brown Findlay et l’inquiétant Russell Crowe. Adaptation qui aurait peut-être dû être plus fidèle à son support d’origine, “Un Amour d’Hivers” est un joli conte avec une belle histoire d’amour et une certaine moralité, mais qui est cruellement handicapé par son déroulement. Si vous voulez un film parlant d’un amour puissant à travers les âges qui soit mieux construit et qui aborde un peu plus le côté métaphysique, je vous conseille de regarder “The Fountain” de Darren Aronofsky. Un beau casting au service d’un conte fantastique émouvant.
La Bande
A mi-chemin entre unSublimes Créatures, un Twilightpour adulte et une histoire magique du style Dickens, l’histoire de Un Amour d’hiver ne convainc pas, mélangeant trop de genres sans réel fond. Si vous n’avez rien compris, c’est normal, et c’est un peu la sensation que l’on éprouve en assistant à Un Amour d’Hiver. On a certainement ici affaire à un récit ambitieux ici, notamment pour ce qui est du nombre de péripéties mélodramatiques, mais malgré tout, cela reste risible. Peut-être pourrait-on prendre la peine de le défendre si on ne prenait pas en compte la misère provoquée par son réalisateur. Akiva Goldman a gagné un Oscar pour son scénario d’Un Homme d’Exception, dont les éloges prestigieux semblent avoir oublié son travail sur des chefs-d’œuvre comme Le Droit de Tuer ou Batman & Robin (parce que oui, Joel Schumacher n’était pas l’unique responsable). À un moment, on le considérait comme un des pires scénaristes d’Hollywood, son nom sonnant comme la promesse de grosses conneries, de jeux de mots lourdingues et de réécritures stupides (Da Vinci Code, Je Suis Une Légende, Perdus dans l’Espace…). Revenons un instant à ce cheval volant mentionné plus haut. Ce destrier magique a un nom, apparemment, mais on ne l’entend jamais, et nous offre le spectacle hilarant de le voir surgir de nulle part comme le logo de TriStar à plusieurs reprises pour sauver le héros quand l’intrigue en a besoin.
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Le bad boy irlandais se la joue prince charmant fougueux dans ce joli conte d’hiver. Saviez-vous que la Croix-Rousse abritait tout un réseau de souterrains ? A l’occasion d’une séance en présence du réalisateur du film et d’une visite en surface à la Croix Rousse, tentez d’élucider le mystère de ces galleries souterraines… Un amour d’hiver est une adaptation du roman de Mark Helprin, publié en 1983.
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C’est vrai qu’avec un peu plus de développement pour mieux fluidité l’histoire serait que bénéficiaire .
Un Amour D’hiver : Critique
Superbement realisé , Photo soignée , bande original bien exploité . Ce premier film de Akiva Goldsman est aussi Interprété par un grand casting qui joue remarquablement leur rôle (dans les principaux comme dans les seconds rôles) . Avec Colin Farrell dans le personnage de Peter Lake , le pauvre cambrioleur qui est persécuté de son ex-mentor . Le talentueux Russel Crowe dans le personnages démoniaque de Pearly Soames , le persécuteur de Lake . Et la charmante Jessica Brown Findlay qui joue gracieusement Beverly Penn , l’amour de Lake .Un peu maladroite dans sa narration je n’ai pas lu le livre et pourtant à plusieurs moment j’ai eu cette impression qu’il y a tellement plus derrière l’histoire d’amour , d’où une sensation insatisfaite . Malgré cela Conte d’hiver est une histoire imaginaire très intriguante et très émouvante qui n’a pas que d’ambition que de faire évadé le spectateur durant , mais délivre aussi des messages puissants de vérité bibliques à coup de métaphore . Et qui les réussi parfaitement .Winter Tale est pour moi un chef-d’œuvre savoureux de bout en bout .4,5/5.
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Synopsis – New York est plongée dans l’obscurité, balayée par des vents arctiques et éclairée par des lumières artificielles. Dans cet environnement, Peter Lake tente de pénétrer dans une maison qu’il pense être inoccupée. Ainsi débute une histoire d’amour entre un cambrioleur irlandais et une âme qui s’éteint. L’espace des contributions est réservé aux abonnés. Chaque jour, la rédaction et l’ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l’actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements…