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lettre d amour sans le dire Lettre D’amour Sans Le Dire
Dans cette sublime lettre, Alice n’est pas cette femme qui s’apitoie en répétant bêtement nous. Elle nous ouvre son cœur pour nous rappeler qu’il faut aimer jusqu’au désespoir, jusqu’au bout du désir, de l’espérance mais aussi de la souffrance. Cette lettre d’amour sans le dire, vous permettra de rencontrer Alice dans tous les méandres émotionnels qui ont constitué sa vie.
Un récit poignant, traité avec grâce, un roman qui se rapproche des plus beaux écrits de la littérature japonaise, tout simplement magnifique. Amanda Sthers est un oiseau qui se pose avec délicatesse sur les branches du cinéma ou de la littérature sans jamais vouloir déranger.
Dans notre imaginaire, on s’accorde parfois un amour qui n’existe jamais dans la réalité. Plus on vieillit, moins on a peur de faire durer cet « avant ». Les lettres d’amour, sans le dire, sont toujours les plus belles ! Amanda nous éblouit avec la sincérité et la justesse de ses mots. Après Ma place sur la photo et Les Terres Saintes.deux romans que j’avais beaucoup aimés, je ne peux que vous conseiller la lecture de « Lettre d’amour sans le dire » ! Un roman court, divin, dans lequel la romancière change de registre.
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Lettre Damour Sans Le Dire
Alice et les hommes, c’est une histoire compliquée. Issue d’une famille modeste du Nord, elle aime comme elle peut avec les armes qu’on lui a données. Au fil du temps, elle semble disparaître, devenir transparente au point de s’oublier. Dans cette lettre, Alice se confie à son praticien qu’elle magnifie au point d’apprendre le japonais. Ce voyage intérieur nous montre une femme perdue dans sa vie. Mais le corps parle et lui dicte de sortir de son cœur étroit, de sa vie en chemin de croix, de cette petite mort pour retrouver l’envie d’aimer. Aimer jusqu’à ne plus savoir, ne plus comprendre.
Il y a mon nom et mon adresse au dos de cette enveloppe et toute ma vie à l’intérieur. Je suis prête à ce que vous ne vouliez rien en faire. Une rencontre qui la fait vaciller et entrouvre pour elle tout un monde de délicatesse, la découverte du Japon, et peut-être même la promesse d’une histoire d’amour… En 130 pages, Amanda Sthers ouvre en nous une immense brèche où s’engouffre tout entier son personnage, et l’on ressent tout ce qu’Alice ressent, on respire, on espère, on pleure et on rêve avec elle. Ce roman est tout en délicatesse et le lecteur se réjouit de voir renaître une femme qui sort de sa chrysalide. Une fois sa fille mariée à un homme riche, elle vient vivre avec elle à Paris. Lettre d’amour sans le dire d’Amanda Sthers (131 pages, 14,50€). C’est aux détours de recommandations que j’ai découvert ce nouveau roman de Mme Amanda STHERS. La motivation était l’originalité de l’ouvrage sous forme d’une lettre en lien avec le Japon., ceux qui me suivent savent combien ce pays compte pour moi. C’est joli d’écrire une sorte de longue lettre intime à un destinataire inconnu. Suivez les auteurs pour obtenir de nouvelles mises à jour et des recommandations améliorées.
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Adaptez votre lecture à vos besoins avec ses fonctionnalités de personnalisation du texte et son écran rétro-éclairé. Pour en revenir au livre de Armande STHERS c’est un roman amer, dont la fin n’augure même pas une renaissance, peut-être juste une ébauche de soulagement. Une superbe lettre d’amour, en forme de questionnement permanent, en forme de confession libératrice, en forme d’espoir fou.
Elles se voient oui, mais la chaleur humaine n’est plus. Jusqu’au jour où elle entre dans un salon de thé et se fait masser par un japonais qui va réveiller son corps.
Sujets Et Livres Associés
Elle s’ennuie et se réfugie dans ses chers livres. Une écriture sensuelle, charnelle, à fleur de peau, aussi délicieuse que parfumée qui fait crier un être qui a toujours manqué d’amour. Et sans amour, nous ne sommes que des pantins désarticulés, des fantômes de passage. Elle est sans doute la plus belle de l’amour.
Une femme d’une cinquantaine d’années écrit à un homme qu’elle a rencontré par hasard, qui l’a massé, et par sa douceur, réconcilié à son corps.
Cette fois-ci, elle rédige à la première personne une longue lettre d’amour non-dit à un masseur japonais séducteur et fort discret, pour qui son héroïne se met à apprendre l’idiome nippon afin de mieux communiquer. Alice tait ses sentiments, mais les écrit, avec justesse. En prêtant sa plume à sa narratrice, l’écrivaine Amanda Sthers nous offre un roman bouleversant, parce qu’aussi pudique que bavard. La longue lettre d’Alice qui tient lieu de confidences tout au long du roman m’a émue et surprise par le tranchant entre une réalité sordide et crue avec l’effacement poétique de la culture japonaise.
Amanda Sthers nous livre un roman délicat, aussi pudique que bavard, et nous conte l’éveil d’une femme à la sensualité. A quarante-huit ans, Alice n’a jamais reçu d’amour. D’origine très modeste, maltraitée et abusée par les hommes durant son adolescence, fille-mère, cette femme meurtrie et effacée s’est partagée entre sa fille et son métier de professeur de lettres, sans jamais s’autoriser à être plus qu’une ombre. Sa rencontre fortuite avec un homme japonais pratiquant le shiatsu va lui ouvrir un monde empreint d’une infinie délicatesse et la réconcilier peu à peu avec elle-même. Un an durant, elle entreprend l’apprentissage de la langue et de la littérature japonaises, s’apprêtant à révéler à cet homme des sentiments dont d’infimes signes l’ont persuadée de leur réciprocité. Alice entreprend l’écriture d’une longue lettre dont on ne sait si elle sera lue un jour, et où elle exprime enfin ce qu’elle n’a jamais su dire. Alice Cendres, la narratrice, écrit à son masseur japonais. A 48 ans, elle vit seule et sa fille s’est éloignée d’elle lorsqu’elle a épousé un homme riche (“Ma fille semble désormais connaître le prix des choses mais avoir oublié la valeur de l’essentiel.”).
Je suis une bonne vivante, j’aime manger, danser mais pour aimer faire l’amour il faut se sentir joliment regardé et c’est très difficile de trouver cela. Mais malgré tout, on continue à croire en l’amour, alors tant qu’il y aura des êtres humains, on trouvera des façons de le vivre. Amanda Sthers présente ici un roman sensible et touchant et donne au corps toute la place et l’attention qu’il mérite. Delphine Saubaber publie La fille de la grêle (JC Lattès), un premier roman puissant qui fait entendre les dernières paroles d’une mère pour sa… Avec Le duel des grands-mères (JC Lattès), Diadié Dembélé signe un premier récit remarquable et bouleversant, porté par une langue pleine d’…
Les Jolis Mots De Clem
Comme le lac, elle l’a suspendue pour sa fille, figée dans des souvenirs douloureux, elle découvre sous les mains d’un maître shiatsu la douceur que peut apporter l’Homme respectueux du corps de la femme.
Une femme, à l’approche de la cinquantaine, analyse sa vie en la dévoilant, par une lettre, à un masseur japonais dont elle devient assez vite amoureuse. Alors pour tenter d’approcher l’univers de cet homme qui lui fait redécouvrir sa féminité et ses désirs, elle va apprendre le Japonais. Dans ce court roman d’une grande puissance, Amanda Sthers explore les peurs d’Alice afin de les faire voler en éclats grâce au don de Akifumi, cet homme qui va donner un nouvel espoir à Alice, alors que les souvenirs d’une vie brisée réapparaissent. « Lettre d’amour sans le dire » est une lettre brûlante de part l’intimité qu’il s’en dégage. Mais l’homme disparaît soudainement et Alice entreprend alors la rédaction d’une très longue lettre sans savoir si elle sera lue un jour. Mais j’en ai aimé la profonde délicatesse des sentiments, majoré par l’influence apaisante de la mentalité japonaise qui reste toujours un grand mystère pour moi, mais que je ne peux que constater, à travers les livres, qui s’en inspirent. Il pleut sur Paris, Alice se met à l’abri dans un salon de thé. C’est un salon de massage, le masseur est japonais. Une rencontre improbable qui va la réconcilier avec elle-même.
Avec le réveil progressif d’Alice, qui vit son printemps tardif après une léthargie longue due à une vie sans saveurs et sans couleurs, Amanda Sthers nous propose une langue magnifique, intime et pourtant pudique. Alors ce livre court, 131 pages, lu en deux séances vaut la peine d’être connu, car il fait réfléchir sur notre propre vie. On y trouve matière à se confronter aux vies des autres et le bonheur est parfois affaire de comparaisons. Sans pourtant le dire, 𝗔𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮 𝗦𝘁𝗵𝗲𝗿𝘀 nous délivre avec ce roman une magnifique lettre d’amour vibrante de poésie. Elles l’enroulent avec délicatesse et cette pudeur, qui doit, je l’imagine ainsi, caractériser le peuple de votre île.
Le Vieux Juif Blonde
Je vous écris cette lettre d’amour sans le dire, sans savoir si vous me lirez, sans même savoir si je laisserai mes mots aller à votre rencontre. Je vous écris en profitant de cet instant hors du temps, cette bulle de joie dans laquelle je me blottis après chacun de vos gestes tendres sur moi déposés. Dans votre langue, cet instant de grâce porte le doux mot d’𝘜𝘬𝘺𝘪𝘰. Alice a 48 ans, elle vit à Paris, mais ne s’y sent pas à sa place. Un jour elle entre dans un salon de thé japonais et se laisse tenter par la salle de massage attenante. Avec le masseur japonais, elle n’échange que quelques mots, mais ses mains vont parler à son corps. Tout change un beau jour lorsque, ayant fait halte dans un salon de thé, Alice est révélée à elle-même par un masseur japonais d’une délicatesse absolue qui la réconcilie avec son corps et lui fait entrevoir, soudain, la possibilité du bonheur.
Voyage dans l’atmosphère des jardins japonais, dépaysant. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Connectez vous pour ajouter ce livre dans une liste ou dans votre biblio. Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles. Il est d une délicatesse qui célèbre l amour et la distance qu on y met que je n ai jamais éprouvé… C’est fou comme une lettre peut faire du bien parfois, même si une lettre par mail, pour moi, ne peut produire le même effet de confidence apaisante, car il y manque une enveloppe, couverture protectrice. Il y manque le voyage aussi de la lettre, un voyage concret dans de vrais moyens de transport. Mes livres sont sincères et ressemblent à la vie. Jamais seulement triste ou seulement heureux.
Les Lettres Du Mercredi
Un battement d’ailes, j’espère qu’il s’est envolé vers le soleil levant, le véritable amour d’une femme clouée. Je le sens tout au bout de vos doigts lorsque ceux-ci me frôlent. Il faut avoir survécu soi-même à l’hiver pour pouvoir transmettre un peu de sa chaleur à un être brisé. Avant vous étaient les gerçures de la glace sous ma peau, les fêlures de l’hiver sur ma vie et les craquelures du temps qui s’enfuit. Les massages prodigués auront au moins éveillé son corps mais pour son coeur les dégâts sont déjà trop importants. Elle livre ainsi enfance, adolescence, âge adulte, en une succession de rendez-vous manqués avec le plaisir et le bonheur. Ma fille semble désormais connaître le prix des choses mais avoir oublié la valeur de lessentiel. Mercredi 24 juin à 20h50, Amanda Sthers sera sur le plateau de François Busnel pour évoquer son romanLettre d’amour sans le dire, paru le 3 juin.
Trouver tous les livres, en savoir plus sur l’auteur.
Je remercie Audrey de m’avoir prêté son livre et fait découvrir la plume d’Amanda Sthers. Il n’y a pas encore de discussion autour de “Lettre d’amour sans le dire”. Alice descend d’un père bûcheron et analphabète, de parents pauvres et qui ne connaissaient pas la bienveillance ; elle est tombée enceinte à dix-sept ans et s’est enfuie de chez elle. Gillespudlo Journaliste, écrivain, flâneur professionnel, gourmet vagabond, hédoniste, bourlingueur, voyageur sans œillères, poète bucolique et paysan urbain. Et récupérez votre livre dans la librairie la plus proche. Découvrez la liseuse Vivlio Color, la première liseuse avec écran en couleurs, et vivez une expérience de lecture inédite haute en couleurs !
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Alice écrit bien, avec tendresse et sensualité. Une infinie mélancolie imprègne ce très beau roman épistolaire qui, avec une grande pudeur, fait s’épanouir l’espoir de résurrection d’une femme en carence d’amour. Plaisir de lire, de rire, de réfléchir, de découvrir, de se divertir… “J’ai moins eu l’impression de vivre ma vie que d’avoir été vécue par elle.” Terrible constat dressée par Alice, la narratrice de Lettre d’amour sans le dire, nouveau roman d’Amanda Sthers, paru chez Grasset ce mois de juin.
Ma Collection De Livres
On pourrait raconter ce roman à la manière d’un inventaire à la Prévert. On peut même s’imaginer que cette liste figure dans l’almanach d’Alice, qui «dessine un rythme à sa vie et au peu d’événements qui la ponctuent». Ce court et précieux roman d’Amanda Sthers raconte la confession épistolaire d’Alice à son masseur japonais, reparti au pays du soleil levant. L’occasion d’évoquer sa vie et de se plonger dans une nouvelle culture. Une infinie tristesse imprègne ce très beau roman épistolaire qui, avec une tendresse toute de délicatesse et de pudeur, fait s’épanouir une fragile fleur d’espoir dans une âme brisée par une terrible carence d’amour. Alice est une femme empêchée, prisonnière de ses peurs et de ses souvenirs. Jusqu’au jour où un masseur japonais, d’une délicatesse absolue, la réconcilie avec son corps, avec elle-même.
Sous les massages délicats et posés d’𝗔𝗸𝗶𝗳𝘂𝗺𝗶, Alice renaîtra jour après jour, au point d’apprendre secrètement le japonais pour pouvoir enfin mettre sur ses émotions les mots que saura comprendre Akifumi. On retourne à Cambrai, on comprend que l’enfance d’Alice n’a pas été heureuse, qu’après avoir cherché à fuir sa famille en se mariant rapidement, elle a vécu une nouvelle déconvenue que la naissance de sa fille a encore accentuée. La douceur d’Antonin aurait pu panser ses plaies, mais cet homme «s’est occupé de moi et de ma fille comme s’il avait adopté des chats dans un refuge». Alors suivre sa fille était une option comme une autre. Jusqu’à la rencontre avec ce masseur japonais.
Prix France Télévisions 2020
Avec « Lettre damour sans le dire », Amanda Sthers offre un texte délicat, tout en retenue, et une très belle histoire de reconquête de soi. Jamais elle n’a connu de gestes bienveillants. L’adolescence et sa rencontre avec un homme lâche comme la plupart des hommes. Son ventre qui grossit, avant l’âge d’être femme, elle a été souillée, elle se sent moche et sale. Cette rencontre tellement bienfaisante pour elle sans nulle arrière pensée venant de cet homme fait renaître en Alice les démons de son passé, de ces hommes qui n’ont jamais usé d’un geste pur envers elle. Elle a toujours accumulé les déceptions amoureuses et les misères sentimentales. Je pense que le seul ennemi c’est l’absence de projections communes. Si on rêve ensemble d’un voyage dans une année, alors le temps devient un allié… Il faut des ponts entre les rêves pour continuer à aimer. Je ne sais pas si vous aimeriez me revoir ou m’écrire.
Alice s’éveille à l’amour à 48 ans, elle qui n’a pas eu de chance avec les hommes. Son âme va naître et se révéler à travers cette longue lettre d’amour subtile, délicate et brûlante. Lettre d’amour sans le dire, c’est une bulle de douceur hors du temps qui fait beaucoup de bien. En refermant le roman, je me suis dit que j’aurais aimé recevoir une telle lettre autant que j’aurais aimé l’écrire. Car il n’y a pas de plus belle déclaration que de mettre en mots ses sentiments pour son amoureux.
Le jour où elle maitrise assez la langue pour lui dire enfin ce qu’elle ressent, l’homme a disparu… Et c’est ce qui fait que la vie peut la bousculer. La surprise de ce massage et de cette émotion arrive parce qu’elle est persuadée que plus rien ne peut lui arriver. La recherche sera conservée dans votre compte et pourra être rejouée à tout moment. J’ai eu tellement d’échos positifs sur ce livre que je m’attendais à mieux. L’auteure, productrice et réalisatrice, Amanda Sthers, démarre le tournage de son propre roman en Italie et à Londres. Un livre court , poétique, que l’on apprécie avec délicatesse.
Lettres À L’ado Que J’ai Été
Lettre d’amour, de tendresse, de poésie, de rêves et d’espoirs. Auteure de romans, scénarios, chansons, pièces de théâtre, réalisatrice de plusieurs longs-métrages, Amanda Sthers a notamment publié chez Grasset Ma place sur la photo , Chicken Street et Les Promesses . Ce qu’Alice n’a pas dit, elle l’écrit magnifiquement. Dans cette lettre l’héroïne livre toute sa vie de mal aimée, toutes ses rancœurs, toute la souffrance qu’elle a dû taire et qui ressort enfin pour la délivrer. Autrice de romans, dramaturge, scénariste et réalisatrice de plusieurs long-métrages, on lui doit notamment, chez Grasset,Ma place sur la photo,Chicken Street,Les Promesses et Lettre d’amour sans le dire .
Chez Grasset
Tous les jours d’amour, elle laisse voyager son imaginaire au gré des mots et de sa vie. Depuis son premier roman, “Ma place sur la photo”, qui en dit déjà long, elle continue doucement d’explorer la nature humaine, mine de rien, sans avoir l’air d’y toucher.
Amanda Sthers Et Sa Lettre Damour Sans Le Dire
Elles l’effleurent, l’enveloppent, l’apaisent Elle redevient ensuite ce chaud et doux tourbillon qui l’a vu naître et qui demeurera figé dans l’enivrant parfum de notre rencontre. N’ouvrez pas ce roman au risque de vous y perdre.
_thalestris_27 Livres
Avec Amanda, le silence parle aussi fort que les mots qu’elle prononce d’une voix calme. Dans son dernier livre,Lettre d’amour sans le dire, Amanda donne l’apparence de sortir de son silence mais c’est en fait pour mieux s’y réfugier. Comme Alice, cette femme bientôt à l’automne de sa vie et qui redécouvre le sentiment d’aimer sous les doigts d’un praticien de shiatsu. Alice est touchante dans ses confidences, de sa jeunesse à sa vie de femme actuelle. A 48 ans, sa vie est loin d’être finie et pourtant, elle a déjà l’impression de ne plus vivre. Autant dire si ce masseur japonais qui lui a redonné espoir a son importance. Grâce à lui, elle reprend sa vie en main, s’inscrit à des cours de japonais, rencontre un professeur attachant grâce auquel elle s’intéresse, s’instruit et s’enrichie personnellement. Originaire de Cambrai, elle en a fait des bêtises, mais aujourd’hui elle habite à Paris, près de sa fille avec qui elle a perdu le lien.
Onglets Livre
J’ai aimé retrouver tout ce qui touche aux coutumes et à la langue nipponne. J’ai ressenti ici tout l’amour de l’auteure pour la langue japonaise en nous faisant découvrir des mots qui disent la beauté des rayons du soleil dans les feuilles des arbres, la puissance d’une émotion d’un haïku. Le mélange de rêve et réalité imprègne le récit d’un insaisissable et fugace moment de bonheur. J’ai retenu le bonheur éphémère même illusoire plutôt que le désespoir. L’idée du roman épistolaire me plaît toujours, et m’a fait penser, au passage, à « lettre d’une inconnue » de mon cher Stefan Zweig. Ce texte est plein de poésie de sensualité et de tendresse. C’et la première fois que j’ouvre un livre d’Amanda Sthers que je snobais jusqu’à présent, et cela a été une très belle découverte.
Sans le vouloir, Akifumi devient son remède contre le froid en la couvrant de sa chaleur pleine et entière.
Avis Libraires Et Clients
Comme la Grande Vague de Kanagawa d’Hokusai des estampes d’émotions se dessinent sur son corps prenant la forme des empreintes délicates de son masseur lui donnant l’envie d’aller plus loin. Un roman riche en couleurs émotionnelles et plein de délicatesse où l’on découvre l’art et la culture japonaise, à lire sans modération.
Les Plus Belles Histoires D’amour
Livraison GRATUITE (0,01€ pour les livres) en point retrait (selon éligibilité des articles). Vos mains ont le merveilleux pouvoir d’en faire taire la tempête qui l’habite. Le style limpide d’Amanda Sthers fait ici merveille et souligne avec délicatesse le parfum des amours mortes. Car au-delà des souvenirs, c’est une infinie tristesse qui nous étreint au moment de refermer ce livre. Un grand merci à NetGalley et aux éditions Grasset qui m’ont permis de découvre ce roman épistolaire et son auteure. Je ne sais si vous devez la lire, mais je n’ai d’autre choix que de l’écrire. Sinon, je vais m’étouffer de tous ces mots retenus. Son amour pour ce guérisseur d’âme va l’amener au plus près des traditions japonaises, Alice suivra des cours, s’ouvrira à cet univers rempli de douceurs. Le Prix France Télévisions #monlivredelété a été attribué au roman d’Amanda Sthers “Lettre d’amour sans le dire”.
Une bouleversante histoire faite de rêves, de déceptions et de confins. Un livre magnifique parce qu’il ne refuse rien, pas de poussière sous le tapis, pas de fausse pudeur. Parce qu’il parle comme un cœur ému, grave et tragique, drôle et amer. Un texte tout en délicatesse où une femme encore jeune renait à la vie, une rencontre entre deux cultures qui se passe de mots. Elle va apprendre le japonais pour lui et une fois prête prend la plume et lui adresse cette lettre. Lettre d’amour, lettre d’espérance, les souvenirs s’égrainent, les douleurs s’apaisent et la vie peut reprendre son cours harmonieux. Avec énormément de sensualité, de douceur, de timidité et de pudeur, elle nous fait entrer dans l’intimité d’𝗔𝗹𝗶𝗰𝗲, sur laquelle les brûlures de la vie auront laissé bien des cicatrices.
Un Vrai Coup De Coeur
Sa rencontre avec un homme japonais pratiquant le shiatsu va lui ouvrir un monde empreint d’une infinie délicatesse et la réconcilier avec elle-même. Un an durant, elle entreprend l’apprentissage de la langue et de la littérature japonaises, s’apprêtant à révéler à cet homme des sentiments qu’elle espère réciproques. Ecriture scolaire, on dirait une ado de 15 ans qui écrit son journal et non une femme de 48 ans qui est censée être l’héroïne. Surtout, aucune sensualité alors que le livre parle de l’éveil du corps lors d’un massage. Supercherie, Amanda Sthers ne s’est vraiment pas foulée (à peine 100 pages en plus…ceci dit, heureusement). Lorsque l’on croise Amanda, c’est d’abord son regard et son silence que l’on retient. Un silence habité comme une maison où s’entrecroisent des rires, des chansons, des secrets et des sentiments forts à partager selon son humeur, ses envies et ses rêves.
Lettre D’amour Sans Le Dire Est Également Présent Dans Les Rayons
Sa vie semble s’être arrêtée car elle n’a plus de projets (elle a pris une retraite anticipée en tant que professeur de français). Du coup, Alice se met à apprendre le japonais. Ancienne professeur de français, elle vit dans ses rêves et dans les livres auprès de sa fille, richement mariée et qui l’a installée près d’elle, à Paris. Ancienne professeur de français, elle vit dans ses rêves et dans les livres auprès de sa fille, richement mariée et qui l’a installée près d’elle, à Paris. C’est le hasard qui pousse Alice dans ce salon de thé asiatique, puis à accepter le massage qui s’en suit. Sous les mains expertes, elle renoue avec son corps, dont elle s’était détaché pour oublier ce qu’il avait subit.
Ce roman se présente sous la forme d’une longue lettre qu’Alice va écrire à cet homme qui fait battre son coeur comme celui d’une adolescente. Je suis entourée d’amis et de vie, je suis très proche de mes enfants. Mais l’écriture m’a souvent isolée, la vie aussi. J’ai écrit ce livre dans un pays dans lequel je m’installais, où je ne connaissais personne. J’ai vécu sans amour aussi, souvent de longues périodes, disons que la solitude ne m’effraie pas, je m’entends bien avec moi-même, mais elle n’est pas ma nature. Ce roman très court a réussi à me toucher, à m’émouvoir. En très peu de pages, avec des mots justes, des expressions poétiques, des phrases bien construites, un rythme mélodieux, l’auteure parvient à….. Sur une écriture douce et fluide, l’auteur nous fait rentrer dans le monde d’Alice, femme aux amours décevants cherchant désespérément une branche sur laquelle se raccrocher pour encore vivre et non s…..
Malade d’avoir cherché en vain la tendresse d’une mère au regard trop fuyant. Groggy de n’être que l’ombre de trop dans les yeux de sa descendance, la lépreuse que l’on abandonne sur le parvis de la honte. C’est bien écrit mais sur un scénario tellement usé avec en prime la grossesse involontaire de l’adolescence et la relation manquée avec sa fille adulte que les qualités littéraires ne peuvent sauver cette introspection aux airs de déjà vu.
Lorsque l’homme repart dans son pays, Alice lui écrit une longue lettre où elle confie ce bouleversement qui la réconcilie avec elle-même et se dévoile sans occulter les traumatismes du passé. Un roman entre pudeur et sensualité délicate d’une femme qui s’ouvre à celui qui, par ses gestes et sa présence, l’a aidé à se libérer de son passé et à s’accepter. Comme après la pluie sur un désert, la carapace qui protégeait cette femme s’entrouvre, laissant timidement s’épanouir la fragile fleur de sentiments longtemps contenus. Il aura fallu pour cela, telle une transplantation sous un nouveau climat et dans une autre terre, la révélation d’une culture étrangère, capable de lui parler d’âme à âme, au travers de sa poésie et de sa transcendance du non-dit. Comme après la pluie sur un désert, la carapace qui protégeait cette femme s’entrouvre, laissant timidement s’épanouir la fragile fleur de sentiments longtemps contenus. Il aura fallu pour cela, telle une transplantation sous un nouveau climat et dans une autre terre, la révélation d’une culture étrangère, capable de lui parler d’âme à âme, au travers de sa poésie et de sa transcendance du non-dit. Par le biais du corps et des énergies libérées, Alice retrouve cette douce sensation qui s’empare de votre être lorsque l’amour écrase tout sur son passage, lorsque l’être aimé vous envahit surtout lorsqu’il n’est pas là.
Lorsqu’elle démarre cette lettre, c’est pour écrire à cet homme tout ce qu’elle ne lui a pas dit.
Après avoir beaucoup vu circuler cette première de couverture au joli bandeau sur bookstragram, je me suis laissée tentée par le dernier roman d’Amanda Sthers paru chez Grasset au mois de juin. Tout le bien que j’ai pu lire de ce court roman s’est confirmé sous mes yeux. D’ailleurs, il a depuis gagné le Prix “Mon livre de l’été” initié par France Télévisions (article de Livres Hebdo à ce sujet par ici). Ce roman est une longue lettre adressée par Alice, professeur de lettres et future jeune grand-mère de 48 ans, à Akifumi, un masseur japonais rencontré à plusieurs reprises dans un salon de thé. Après une enfance et une adolescence traumatisante puis une vie tiède et quelque peu désincarnée, les doigts respectueux d’Akifumi la font revenir à elle et à son désir de femme. Pendant plusieurs mois, Alice prend rendez-vous au salon de thé pour se faire masser par cet homme, sans jamais lui parler de son apprentissage du japonais, entrepris par amour. Elle tait ses sentiments mais prend finalement la plume le jour où elle perd la trace de cet homme délicat. Elle lui écrit alors avec pudeur son histoire et son amour naissant.
Amanda Sthers Publie Lettre Damour Sans Le Dire : « Je Déteste Penser Lhumanité En Bloc »
Une femme prend la plume pour écrire à l’homme qu’elle aime. Même si celui-ci est son masseur, même si elle ne lui a jamais laissé entendre son attirance, et même s’ils sont de cultures différentes. C’est doux, c’est sensible et c’est très agréable à lire. Tout n’est que poésie, tendresse et retenue dans ce courrier, où la femme qui s’est fanée, se dévoile et renaît progressivement de sa rencontre avec cet homme respectueux et bienveillant. Il éveille en elle sa curiosité et amorce une forme de réconciliation avec elle-même. Comme si la révélation d’elle-même ne pouvait être possible que grâce à la confrontation d’une culture étrangère et la transcendance du non-dit. Il suffit parfois d’un malentendu et la vie bascule. Comme pour Alice ce jour d’octobre où prise par erreur pour une autre cliente, elle s’initie à une séance de shiatsu dans un salon de thé japonnais au coeur de Paris. Alice, qui était professeur de français, a quitté Cambrai, pour emménager à Paris, à la demande de sa fille qui a fait un « riche mariage ». Ce n’est pas pour autant qu’elle s’y sent à l’aise, tant dans la belle-famille que dans la ville.
Alice n’a jamais eu de chance avec les hommes. Nordiste et d’origine très modeste, abusée et maltraitée durant son adolescence, cette fille-mère s’est partagée entre sa fille et sa charge de professeur de lettres, sans jamais pouvoir s’affirmer. Cette auto-analyse, l’héroïne de 48 ans la livre à Akifumi, un masseur japonais dans un salon de thé, dont les mains délicates l’ont révélée à elle-même après des années de glissement à la suite de traumatismes. Soudain, sous le poids de ses doigts respectueux, elle s’autorise à croire au bonheur. Une infinie tristesse imprègne ce très beau roman épistolaire qui, avec une tendresse toute de délicatesse et de pudeur, fait s’épanouir une fragile fleur d’espoir dans une âme brisée par une terrible carence d’amour. À révéler à cet homme des sentiments dont d’infimes signes l’ont persuadée de leur réciprocité. Alice entreprend l’écriture d’une longue lettre dont on ne sait si elle sera lue un jour, et où elle exprime enfin ce qu’elle n’a jamais su dire. Servie par une écriture d’une honnêteté fébrile, fluide comme l’est un fleuve pas très tranquille, une langue crue éclaboussée de poésie, émaillée de sa Majesté des Morts. La vallée des fleurs est une puissante évocation de la jeunesse du Groenland, cette jeunesse avec autant d’envies d’ailleurs que de désespoir dans les veines.
N’arrive guère à transmettre, expliquer, faire connaître sa passion, tente de rendre palpable son amour non par des mots mais des gestes, tente d’aller plus loin. Sa lettre, confession, autobiographie, auto-analyse, aveux successifs, intrigue, noue, bouleverse. On croit à ce personnage qui avoue peu à peu ses craintes, ses hantises, ses malheurs, ses espoirs malmenés. Amanda Sthers fait de ce bref roman, à l’écriture nette, vive, précise, cursive, sobre, sans éclat inutile, le portrait en creux d’une femme d’aujourd’hui qui cherche sa vérité. Elle se rend dans un salon de massage où elle tombe sous le charme de l’homme japonais qui s’occupe de sa peau. Avec douceurs et gestes tendres, en effleurant sa peau, c’est son âme qui va s’ouvrir et se poser dans une longue lettre qu’Alice écrit à cet homme. A l’aube de ses 50 ans, Alice est une femme brisée, malmenée par les hommes depuis son enfance et déçue d’une vie qu’elle subit en silence. Un jour, elle rencontre un masseur japonais qui, avec douceur et délicatesse, au fil … On la suit depuis « Ma place sur la photo », sans jamais se laisser piéger par ses métamorphoses.
Je ne sais pas si précédents livres sont de la même mouture, mais, en tout cas, j’ai envie de renouveler l’expérience. Elle se met ainsi dans la peau d’Alice Cendres dite Alice Renoir, dame du Nord, native de Cambrai, férue de « bêtises », ex-prof’ de français, 48 ans, qui a gâché sa vie et son enfance, hésite sur le destin de son existence. Une histoire d’amour qui transpire par tous les pores de la peau, où rien n’est dit, juste ressenti à travers des mains qui se posent sur un corps.
Ces quelques pages m’ont littéralement envoûté, un récit porté par une langue subtile, des mots délicats, et une sensualité à vous damner. Une longue lettre d’amour sur les rivages d’une âme qui s’éveille à l’amour après avoir tant souffert. Fatiguée de ne rien faire à quarante-huit ans, elle se réfugie depuis toujours dans la littérature pour panser ses maux, pour s’attacher à qui bon lui semble dans les livres qu’elle ouvre. Si vous souhaitez voir votre commentaire apparaître directement sur le site sans attendre la validation du modérateur, veuillez vous identifier ou créer un compte sur le site Paris Dépêches. Une émotion physique qui m’est arrivée à New York. Alors que je venais d’enquêter deux semaines sur la tuerie de Newton dans des conditions difficiles, je suis allée chercher de la superficialité en allant me faire faire les ongles dans une petite boutique sur rue. Une femme s’est mise à me masser les épaules et je me suis souvenue que j’avais un corps, moi qui ne vivais plus que dans ma tête depuis un moment. Une femme âgée est passée dans la rue et j’ai pensé qu’il y avait un âge où on ne nous touchait plus… parce que la vie nous l’imposait mais aussi parce qu’on préférait cela au risque du chagrin. Une vie de construite dans la détresse, la douleur, les épreuves, la solitude… Quand souvent, une rencontre fortuite, anodine, peut tout faire basculer dans le coeur d’une f…..