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crime d amour Crime D’amour
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Dans le décor aseptisé des bureaux français d’une puissante multinationale américaine, deux femmes s’affrontent. La jeune et belle Isabelle travaille sous les ordres de Christine , une femme de pouvoir qu’elle admire sans réserve. Convaincue de son ascendant sur son bras droit, Christine entraîne Isabelle dans un jeu trouble de séduction et de domination. En fait, dans Crime d’amour, tout est construit sagement, avec minutie, comme si le film lui-même avait été conçu par le personnage d’Isabelle. La lumière est belle, adaptée aux lieux et aux enjeux du sujet. L’écriture sonore est judicieusement conçue pour mettre en valeur la froideur du milieu et la folie des personnages (la musique intervenant uniquement au moment du crime, quand la passion se déchaîne de manière aussi brève qu’irréversible).
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Isabelle essaie d’obtenir un nouveau rendez-vous avec Philippe mais celui-ci ne répond pas à son texto, effondré par la trahison de Christine. Isabelle accepte de passer une journée de détente au Caire avec Philippe et devient sa maitresse. De retour à Paris, Isabelle accueille avec froideur les reproches de Daniel, son plus proche collaborateur qui lui fait remarquer que c’est Christine qui va tirer parti de son travail et de son succès. Isabelle tombe en effet de haut lorsque Christine en visio conférence avec les responsable au siège de Washington s’approprie l’idée de l’implication des sous-traitants et se voit offrir le poste de responsable du bureau de New York. Tant qu’on se demande qui va tuer qui et pourquoi, Crime d’amour procure toutes les sensations coupables qu’un bon client est en droit d’espérer. Kristin Scott Thomas et Ludivine Sagnier jouent sans retenue la partition de leur duo amoureux, sadomasochiste pour spécialistes du droit des affaires. Il ne faut pas non plus sous-estimer la contribution de Patrick Mille, qui fait de son personnage un monstre de veulerie. Chaque boîte mail recèle un piège, les rendez-vous professionnels deviennent galants, à moins que ce ne soit l’inverse. Et si Alain Corneau, cinéaste imprévisible, s’en était tenu à ce programme modeste, mais alléchant, Crime d’amour aurait compté sans réserves parmi les réussites mineures de sa filmographie si inégale.
Comparer Crime d’amour et Passion, ce n’est pas comparer le cinéma français et le cinéma Hollywoodien.
Alors que celle du remake m’évoque le formidable Boléro de Femme fatale, les thèmes de Crime d’amour sont plutôt fades et le solo de saxophone est même franchement déprimant. Dès qu’un film n’est pas assez imaginatif dans sa forme, ça m’agace. Je ne suis pas anti plans fixes, mais ça doit servir l’histoire. Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles à Paris. Un soir de réception chez Christine, Philippe lui fait une scène dans le jardin. Christine rentre vers sa maison quand, derrière elle, surgit une mystérieuse créature tout de blanc vêtue qui la poignarde sauvagement puis enlace son corps avant qu’il ne s’écroule. Elle maquille la scène de crime en violant combat et prend le doigt de Christine pour écrire ISA avec son sang. Ci-dessous, les festivals de cinéma à venir à suivre en direct sur ce blog. En cliquant sur «Continuer à lire ici» et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Policier Et Thriller
Corneau fait s’interroger Isabelle sur la façon dont Christine prend son pied (sans réponse), De Palma la montre sado-maso. Du coup, redécouvrir l’histoire expurgée de ses grandiloquences est intéressant mais le résultat manque de motivation. Sérieux… ce moment gênant où j’ai l’impression d’être pris pour un con. Le traitement lui, à la manière d’autres remakes comme True Lies (vision américaine et hallucinée dela Totale de Claude Zidi) est partiellement identique, et en partie bien différent. Et par différent il faut comprendre gonflé aux hormones. Isabelle s’effondre et ne parvient pas à sortir du parking souterrain tellement elle est perturbée, emboutissant ainsi l’avant de sa voiture.
La première séquence établit explicitement – le scénario, de Corneau et Natalie Carter, ne fait pas dans l’ellipse – l’emprise érotique qu’exerce la maîtresse sur son esclave salariée. J’espère que tu l’as trouvé un cran au-dessus du remake de palma étonnant qu’il ait fait ça, et aussi bonne interprétation pour Ludivine Sagnier, j’ai bien aimé. Kristin scott thomas je trouve son accent des fois forcé et elle est plus marrante dans le film “dans la maison” en étant outrée, là tru ci dée!!!! Pourtant ce film me plaît et je l’ai encore ré emprunté en médiathèque. Crime d’amour vaut avant tout le détour pour le jeu des deux actrices et ici plus particulièrement Ludivine Sagnier qui surprend agréablement dans ce rôle !
Isabelle , la jeune numéro deux d’une agence de communication, se laisse bouffer par sa supérieure Christine qui passe son temps à lui piquer ses idées, la faire culpabiliser, et en même temps la draguer. C’est donc chez Fritz Lang, l’un des maîtres du genre, qu’Alain Corneau et Natalie Carter, coscénariste (qui a précédemment travaillé avec Claude Miller sur Un secret), sont allés puiser leur inspiration. Dans L’Invraisemblable vérité , le cinéaste allemand avait créé un personnage qui s’accusait d’un crime dont il n’était pas coupable, dans le but de dénoncer les erreurs judiciaires et la peine de mort. Mais quand sa protégée prend de l’assurance au travail et se lie avec un de ses anciens amants, Christine voit rouge. Humiliée et abandonnée, la jeune femme est poussée à bout. Grâce à un plan machiavélique, l’une d’elles va s’accuser du meurtre de l’autre, pour mieux se faire innocenter.
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Belle BO, bonne histoire et superbes acteurs dans ce thriller mis en scène et coécrit par Alain Corneau. Son scénario diaboliquement bien construit nous délivre une histoire haletante ou la tension monte inexorablement. A l’affiche, la confrontation Kristin Scott Thomas – Ludivine Sagnier est passablement prodigieuse. Ludivine Sagnier se révèle magistrale dans un rôle à double facettes difficile. Et c’est dommage parce que malgré ces petits détails et grosses ficelles, le film s’en sort bien, dans son genre. Le thriller, qui s’amuse avec le spectateur avant un twist final parfois complètement fou-mais-on-s’en-fou, ce n’est en général pas ma tasse de thé.
Je vais inonder de commentaires, addictce sont plutôt les autres qui n’ont pas réagide ci de là….. En médiathèque, c’est tout le temps indisponible, c’est que les gens regardent le film…. J’ai bien aimé l’intrigue et ce lien si particulier entre les deux femmes. La version américaine de Brian de Palma est sans comparaison, les actrices jouent en exagérant trop. En plus Noomi Rapace reprend le rôle de Ludivine Sagnier, sur un mode exagéré.[/spoiler]La version d’Alain Corneau est originelle, il ne verra jamais le remake de Brian de Palma! En revanche, le crime d’amour est-il un crime parfait, a-telle sa conscience tranquille après ça ? Nous avons plusieurs registres et plusieurs regards possibles. Dans le décor aseptisé des bureaux d’une puissante multinationale, deux femmes s’affrontent La jeune Isabelle travaille sous les ordres de Christine, une femme de pouvoir qu’elle admire sans réserve. Convaincue de son ascendant sur sa protégée, Christine entraîne Isabelle dans un jeu trouble et pervers de séduction et de domination. Ce jeu dangereux va trop loin jusqu’au point de non retour.
La photographie est froide ce qui est pas le cas de “Passion”. Kristin Scott Thomas et Ludivine Sagnier, toutes deux, elles rajoutent plus de finesse, mais aussi les sentiments et les pensées de chacune sont avec plus de clairvoyance ce qui renforce le jeu. Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. Vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d’en demander l’effacement dans les limites prévues par la loi.
Film Dramatique
Le reste du temps, on le passe à se demander ce qui a pu motiver de telles longueurs, ces plans serrés qui frôlent l’inanité, ces visages vides, ces regards vidés. On se fait chier et on ne nous offre aucune surprise … Même si ce film de Alain Corneau est pas terrible, il est en tout cas au-dessus du remake de De Palma.
C’est cette réflexion passionnante que mène Alain Corneau, sans toutefois réussir à égaler le talent de son maître. Si Kristin Scott Thomas est impeccable en maîtresse femme, Ludivine Sagnier a de la peine à rendre crédible son personnage, par un jeu trop appuyé. Restent la très belle photo d’Yves Angelo et une musique intrigante à souhait, interprété par le grand saxophoniste Pharoah Sanders.
Elle appelle alors l’avocat pour qu’il prévienne le juge qu’elle revient sur ses aveux. Alain Corneau, cinéaste touche-à-tout inégal mais capable de quelques beaux sommets à l’instar de “La Menace” qui est un bijou de roublardise et d’efficacité, nous quittait sur ce “Crime d’amour” un poil décevant… Mais une fois le rebondissement qui tue arrivé, on se laisse prendre cette fois par un rythme et une densité qui se réveillent enfin et l’histoire devient nettement plus prenante même si souvent prévisible et parfois peu crédible. Ludivine Sagnier est loin d’être mauvaise, ce qui aide… Résultat, une fin de carrière sur une touche mineure pour Corneau mais il suffit de repenser à ses meilleures œuvres pour savoir qu’il était capable de tâter du très bon cinéma…
Informations Légales Le Monde
Pour revenir une dernière fois sur Passion, je voudrais rappeler que le film de Brian De Palma ne m’a pas totalement convaincu. J’avais déjà reproché à Passion sa froideur et son histoire un peu tirée par les cheveux, retenant plus que tout la maitrise technique du réalisateur. Un «film français«, avec de très grosses guillemets, c’est un truc fait par un Auteur qui tourne son film comme s’il écrivait un roman. Un «film français« c’est limite dogmatique, ça utilise le moins de mouvements de caméras possibles, ça adore le champ / contre-champs à répétition et si les acteurs peuvent réciter comme dans une pièce de théâtre de 1639 c’est encore mieux. En fait un «film français«, dans ce que l’expression a de plus péjorative, ça ressemble à un vieil épisode de Julie Lescaut. Pour le réalisateur de M le Maudit, comme pour Alain Corneau, personne n’est jamais tout à fait innocent. Suivant que l’on accumule les preuves dans un sens ou dans un autre, on arrive à une conclusion différente « La vérité, comme l’art, est dans l’oeil de celui qui la regarde », dirait le philosophe.
Beau film et intrigue bien menée, déjà en salles, j’ai apprécié et l’ai pris en DVD plusieurs fois. J’ai de loin adoré la version d’Alain Corneau à celle de de palma qui a transformé le scénario hystériquement et ennuyeusement. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Assez proche de celle de Passion, elle est pourtant assez désagréable au final.
Critiques Presse
Mais au delà de son histoire moins compliquée, le film de Corneau m’a un petit peu gêné de part ses tiques de «film français«.
Celui-ci lui révèle tout savoir des faux comprimés qu’elle prenait pour faire croire à une dépression. Dans sa prison, Isabelle reçoit la visite de sa sœur à laquelle elle demande de s’en tenir à ce qu’elle lui a promis puis de Daniel auquel elle demande de l’aider à prouver son innocence.
Ni que Brian De Palma soit un réalisateur classique de Hollywood. Là ou même Spielberg produitTransformers, unTransformerspar De Palma serait sans doute génial mais n’aurait rien à voir avec la saga de blockbusters que l’on connait. D’ailleurs son Mission to Mars commandé par Disney se révèle extrêmement… hum, surprenant, pour un film d’aventure, œuvre de commande d’un grand studio familial.
Services Le Monde
En fait tuer okmais pas d’aller en prison pour ça après. Une confrontation qu’Alain Corneau a voulue ambiguë, sans être sulfureuse, et qui pousse le spectateur à s’interroger sur la nature profonde des deux personnages. Dans la seconde partie de Crime d’amour, le cinéaste installe une ambiance de film noir. « Le mécanisme du film noir, fondé sur le tragique, est un instrument extrêmement cohérent pour aborder la question de l’identité, plus moderne que jamais », expliquait le réalisateur français lors de la sortie de sa précédente oeuvre, Le Deuxième Souffle . Le procureur voit les charges contre Isabelle s’écrouler mais l’écharpe sans accroc que Christine prétend avoir chez elle et qui l’innocenterait définitivement n’est toujours pas là. Isabelle demande ultime fouille et cherche assidûment derrière un placard pour y trouver la fameuse écharpe. Son innocence est ainsi révélée à tous et Isabelle revient dans l’entreprise occuper le poste de Christine. Sa sœur poste le courrier révélant les indélicatesses de Philippe et c’est en pleine réunion qu’il est arrêté. Il nie mais l’inspecteur retrouve dans sa voiture, l’écharpe avec l’accroc (Une séquence en noir en blanc en montre l’achat par Isabelle et le soin pris à en découper un morceau). Isabelle a assis son autorité sur le siège parisien et se fait raccompagner en limousine par Daniel.
Découvrir les offres multicomptes Pourquoi voyez-vous ce message ? Parce qu’une autre personne est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Entre les deux femmes se trouve un homme, Philippe , comptable corrompu. Pendant à peu près une heure, les mensonges et les conspirations de bureau s’entrecroisent, menant à l’inévitable effusion de sang que promet l’affiche. Ludivine est sublime dans ce rôle de femme objet vis à vis de sa supérieure hierarchique.
Voir Les Séances De
Si je n’avais pas connu Passion, et tous ses ajouts De Palmesques, j’aurais peut-être moins été emballé par le scénario. Et encore, puisqu’il n’y a aucun suspense sur l’identité de l’assassin, le thriller s’évapore un peu et le twist n’est pas si passionnant que ça. Christine convoque alors Isabelle et lui montre le mail qu’elle a prétendument reçu d’elle. Les jours s’écoulent et elle a de plus en plus besoin des pilules pour tenir le coup. Elle prend toutefois le temps de se rendre au cinéma voir “Dernier rivage”, de rencontrer sa sœur à laquelle elle demande de poster quand le temps sera venu un mystérieux courrier, de poser avec son écharpe pour des clients japonais, de couper des roses chez elle. Un matin elle vient gager sa voiture à proximité du domicile de Philippe et, marchant à pied sous la pluie, se fait conduire par lui au travail en voiture. Très très déçu par ce film Niveau d’un téléfilm de seconde zone, malgré le respect dû au réalisateur. Le jeu des acteurs n’est pas crédible, en particulier celui de Ludivine Sagnier. En 2010, le cinéma français présente deux longs métrages abordant des crimes commis dans les hautes sphères du monde du travail. Avant la sortie de Crime d’amour d’Alain Corneau, Benoît Magimel essayait de réussir son crime “sans laisser de traces” dans le film de Grégoire Vigneron.
Cinéma Puteaux
Tout repose sur le crime prémédité qu’elle commet et son explication… On est complètement happé par l’organisation et le montage mis en place le personnage d’Isabelle qui se révèle machiavélique au possible ! Une sacrée surprise que ce film qui nous embarque dans un mécanisme … Tout ça n’est pas bien grave ; par contre durant la seconde partie du film, nous avons à faire à l’autorité judiciaire. C’est déprimant (et de mémoire, pas tellement mieux dans le remake). J’ai le sentiment que, parfois, en France, certains metteurs en scène pensent qu’une caméra trop mobile, une Steadicam ou simplement un acteur qui parle de dos ou hors-champs, c’est idiot, inutile, voir réservé aux blockbusters hollywoodiens. On frôle l’anti-américanisme et ces gens là devaient être de ceux qui crachaient sur Spielberg il y a vingt ans parce que les extraterrestres et les dinosaures, c’est pour les enfants.
Toutes Les Catins Du Monde
Isabelle se tient éveillée toute la nuit, téléphone au matin à Daniel qu’elle ne viendra pas travailler. C’est ainsi que lorsque les inspecteurs débarquent chez elle vers 16h00, elle est complètement ahurie. Chez le juge d’instruction tout semble l’accuser et principalement le bout de l’écharpe de Christine qu’elle s’est appropriée devant tous a été retrouvé arrachée dans les mains de Christine. Le lendemain, Christine essaie de se faire pardonner tout en conviant par la suite Philippe afin de le mettre en demeure de rembourser les fortes sommes qu’il a détourné et qu’elle avait couverte jusqu’à présent. Son départ pour New York ne peut s’accommoder de cette couverture de complaisance.
Ils les ont faites trop hystériques dans la version de de palma et le voyeurisme destroy, toujours trop appuyé et ça montre la surenchère. Il est réellement dommage que le regretté Alain Corneau ait terminé sa carrière avec ce polar minable qu’est Crime d’amour. En effet, cette histoire de manipulation en plus d’être totalement prévisible n’est pas aidée par une réalisation froide et inconsistante et des acteurs transparents, la palme revenant à Ludivine Sagnier particulièrement insignifiante. Seule la toujours aussi sublime Kristin Scott-Thomas arrive à tirer son épingle du jeu, ce qui ne suffit malheureusement pas à sauver le film du désastre. Mieux vaut revoir Série noire ou Le choix des armes pour se rappeler qu’Alain Corneau fut un des auteurs emblématiques de l’heure de gloire du polar français. En plus il est passé à la télé le soir où je revenais de paris….
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Juste avant celle-ci, Christine, les mains protégées par des gants, écrit sur l’ordinateur d’Isabelle un mail où celle-ci dit ne devoir jamais pardonner à sa patronne l’humiliation qu’elle vient de subir. Pour se faire pardonner, Christine invite Isabelle dans une réception mondaine pour lui apprendre à parler pour ne rien dire. Surgit alors Laurent proposant un nouveau week-end amoureux à Christine espérant qu’elle se trouvera encore un bon petit soldat pour travailler à sa place. Dans sa splendide maison, Christine a convié Isabelle pour une réunion de travail visant à finaliser son intervention au Caire. Christine encourage sa plus proche collaboratrice à sortir de sa réserve, à penser à elle plutôt que de s’oublier. Isabelle admire sa patronne et accepte, confuse, le cadeau de son écharpe qu’elle avait dit apprécier. La conversation se fait plus intime mais Isabelle rentre dans sa coquille et Christine revient au travail. Cliquez sur le lien pour découvrir le recueil contenant ma nouvelle lauréate du Prix Alain Spiess 2020 intitulée “Les âmes romanesques”. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel.
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Cette fois, l’inconstance est à l’oeuvre à l’intérieur du film, et les promesses alléchantes de la première partie sont peu à peu galvaudées. Véritable film pour bourgeois bien pensants en quête d’adrénaline. D’une platitude étonnante, ce film se résume à sa bande-annonce.
Dans Un Nouveau Film Noir, Alain Corneau, Réalisateur De « Police Python 357 », Livre Une Réflexion Sur L’identité Et Le Double
Synopsis – Pour sortir de l’anonymat, une jeune homme endosse la responsabilité d’un crime qu’il n’a pas commis. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Sur un sympathique sujet de thriller, Brian De Palma ajoute, sa patte oui, mais aussi au final tout ce qui fait le sel d’un film copieux, chargé en informations, qui donne envie d’y revenir. Alain Corneau filme un bisou dans le cou, De Palma montre des baisers saphiques. Corneau évoque une draguouille de la supérieure dont on ne mesure la véracité, De Palma multiplie les lesbiennes comme d’autres multipliaient les pains.
Passion
Les autres sont très difficiles et critiques, il est super bien fait et c’est ce qui fait le film et la magie du cinéma…. Bien mieux aimé que “ne te retourne pas” qui est lent et peu cohérent ou alors trop déformant par moments. Corneau a son registre et “crime d’amour” est un film que j’ai apprécié. En premier, la com “Stupeur et tremblements” avec Sylvie testud qui se montre excellente et tout le film est sur ses épaules…. Un petit bijou et ensuite, “crime d’amour” qui donne le beau rôle à Ludivine Sagnier une de mes actrices préférées…..là le bijou, c’est elle! Elle tue dans “swimming pool” par fêlure et crainte de conséquences, dans “une aventure” au pistolet en pleine crise de somnambulisme (circonstance atténuante), par ruse et stratégie de femme parfaite ici, super…
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Le lendemain matin, Daniel vient l’avertir que Christine a prévu une petite fête pour le samedi suivant.
Je reconnais que la première fois que j’ai pu visionner Crime d’amour d’Alain Corneau , ce film m’avais dans l’ensemble satisfait . Ceci dit , en y pensant aujourd’hui , il faut bien prendre conscience qu’en vérité , il n’y a presque rien relevant du cinéma dans ce film sans mise en scène et à l’interprétation même pas géniale . Il y a également un grand manque de souffle , de passion et de tension dans ce long-métrage qui est finalement vain et sans intérêt . Elle serait encore en prison ce qui veut dire qu’au fond, ne pas laisser de preuve est plus fin! Ne pas être pris ou sanctionné, en toute impunité, à chacun d’avoir sa conscience. Dans le décor aseptisé des bureaux d’une puissante multinationale, deux femmes s’affrontent… La jeune Isabelle travaille sous les ordres de Christine, une femme de pouvoir qu’elle admire sans réserve. Il y a également un grand manque de souffle , de passion et de tension dans ce long-métrage qui est … Jeune, belle et ambitieuse, Isabelle travaille dans le décor aseptisé des bureaux d’une multinationale, sous les ordres de Christine, quadragénaire charismatique, qu’elle admire profondément. Au début, les relations entre les deux femmes sont au beau fixe.
Quand Christine se rend compte du respect que lui voue sa subordonnée, elle ne peut s’empêcher de profiter de la situation et de l’entraîner dans une relation perverse de séduction et de domination. Ainsi, n’hésite-t-elle pas à utiliser certaines idées d’Isabelle, tout en s’en attribuant la paternité. Quand Philippe, collaborateur et amant de Christine, s’en mêle, le petit jeu ne tarde pas à déraper… Film éblouissant et le dernier de corneau, heureusement qu’il n’a pas vu “passion”, tu as de palma qui fait du zèle. Ok les remake américain sont bien pâles à côté des originaux comme pour “le grand chemin”, “3 hommes et un couffin” ou d’autres productions cocorico, ils tentent et après, c’est facile de copier….. Là je le conseille et me disouf pour Corneau il ne verra pas le remake. Comment ont réagi les dames de voir les pâles copies actrices qui ont leur rôledéjà ludivine, c’est comme dans la petite lilirien ne la remplace.
Critique
Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. Mais on ne peut pas dire que Passion ai quelque chose d’Hollywoodien.
Ses aveux, largement diffusés dans la presse et les journaux, suscitent le témoignage d’une vendeuse dans une coutellerie qui se souvient fort bien qu’Isabelle était venue acheter le couteau du crime en se comportant de manière particulièrement odieuse. Isabelle affirme avoir acheté un couteau pour elle-même mais celui-ci n’ayant pas été retrouvé chez elle ainsi que l’écharpe, sa culpabilité ne fait plus aucun doute pour le juge d’instruction. Cliquez ici pour découvrir mes 27 nouvelles en accès libre sur le site de Short Edition (certaines primées de Prix du Jury, ou d’autres publiées dans leurs recueils papier comme “Papier, caillou, ciseaux”.) Elles totalisent déjà lectures. Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Une fois la victime expédiée dans l’autre monde, il faut supporter un très long dénouement, qui développe tous les détails d’une conspiration dont on n’a plus grand-chose à faire. Le système d’explication, qui repose sur des retours en noir et blanc, alourdit le récit jusqu’à l’arrêter quasiment, et l’excitation de la première heure laisse la place à un ennui qui ferait presque oublier le plaisir que l’on vient de prendre. En vacances, quel spectacle plus réjouissant que la turpitude des puissants, surtout ceux qui règnent au sommet des entreprises ? Vue des plages ou des sommets, la rivalité qui pousse au crime les dirigeantes de la filiale française d’une multinationale fait un divertissement presque irrésistible.
C’est comparer le cinéma franchouillard avec le cinéma d’un Américain, plus perfectionniste. Pas que tous les Américains soient perfectionnistes, mais [si je fini cette phrase je vais dire quelque chose de méchant] Crime d’amour, comme de nombreux «films français« ressemble par certains aspects à un Paul W. S. Anderson[désolé].
Critique De Crime D’amour Par Foxart
On a une idée, mais on ne se donne pas tous les moyens de la réaliser. Je pourrais pousser la comparaison jusqu’au spectacle de fin d’année dans les écoles, je me contenterais de signaler de des réalisateurs Français intéressés par le style, ça existe. Dans La HaineMathieu Kassovitz film en noir et blanc etse permet la double focale, si chère à De Palma. Enfin, les dernières minutes du film enchainent de petits défauts, de petits détails qui auraient du être soignés mais qu’on ne soigne jamais dans les «films français«. Le coup de téléphone d’un banquier, mais bon sang QUI parle avec une telle prestance au téléphone !? Il y a TOUJOURS au moins une hésitation, un « euuuh », une syllabe qui dure, un chevauchement entre les deux interlocuteurs, au téléphone. Et la manière qu’a Ludivine Saigner (irréprochable donc, sauf ici) de conclure l’entretien, la voix montante mais sans attendre de réponse… On dirait une première répétition avant que le metteur en scène ne corrige ses comédiens. Crime d’amour est ainsi un thriller beaucoup plus classique, avec une histoire tordue certes, mais qui guide le spectateur tout le long, sans jamais l’emmener se perdre sur plusieurs pistes à la fois, jusqu’à son obligatoire révélation finale.
Enfin, et ce n’est pas rien, il est appréciable de voir un film français construit sur des personnages féminins aussi forts et indépendants que ces deux-là. Isabelle et Christine ne se déchirent pas pour un homme et ne souffrent pas de cette fameuse sensibilité prétendument féminine. Ce sont juste des êtres humains, avec tous les vices que cette nature complexe peut comporter. Scott-Thomas en impose à chacune de ses apparitions, mais le reste du casting essaie de trouver sa place dans une mise en scène digne d’un mauvais Derrick… L’image est tout simplement immonde, voir amateur, le cadre et le montage sont inexistants… Et si l’histoire est intéressante, le scénario et son adaptation sont pitoyables et prévisibles. Quant aux rôles secondaires, ils sont vides et pas crédibles. Il serait peut-être temps d’arrêter de confier des films à des réalisateurs sans inspiration, et sans motivation…
Christine , divinité glaciale qui fait régner la terreur dans son entreprise, a pris sous son aile Isabelle , jeune fille douée pour les affaires.
Si Vous Aimez Ce Film, Vous Pourriez Aimer
Le film débute sans préambule dans l’appartement de Christine qui se joue de la séduction qu’elle exerce sur Isabelle. Les présentations avec le trio de ce cercle infernal sont ainsi expédiées. Alain Corneau possède une filmographie assez clairsemée mais riche de grands films aussi différents que « Police python 357 », « Le choix des armes », « Tous les matins du monde », « Fort Saganne » ou « Stupeurs et tremblements ». S’il s’adonne à la comédie, il aime aussi le film de gangster , le film noir (Le Deuxième Souffle, 2007), les êtres au bord de la rupture mentale (Série noire, 1979), les confrontations dans les sphères de pouvoir . Fort de ces expériences-là, le réalisateur à la filmographie hétéroclite a décidé de s’essayer au thriller psychologique. Malgré un pitch prometteur et une belle distribution, Crime d’amour s’avère malheureusement inégal et didactique.